Descriptions de personnages croisés en Lorndor

Vous pouvez poster ici les descriptions de personnages trouvées dans le jeu et qui vous ont plu :

Necrobeh est un vieux troll

Troll sénile porté sur le champi, Necrobeh fut toujours attaché à la longue tradition de guerriers qui furent la fierté de sa famille. Guerriers ? Oui, guerriers ! Et pourtant Necrobeh est un mage... Comment expliquer ce non-sens ? La raison est très simple : Necrobeh est vieux, dérangé et totalement lunatique. Il se persuade lui même qu'il est une épée, et que ses sorts ont le tranchant de la plus puissante claymore. Il passe sa vie sur le fil du rasoir, son corps également, est entraîné pour contrer les lames les plus tranchantes, et ses sens sont aussi aiguisés que.... Quoi ? Vous en avez assez de mes explications sans fondement ?
Pour faire simple, Necrobeh est une épée :3

MasterDem est un jeune troll adulte

Alors qu'un brouillard épais s'abattait depuis plus de deux lunes sur le Lorndor. Que les aventuriers de tous clans peinaient à trouver un adverssaire, caché dans la brume.

Une ombre apparut, une silouhette encore inconnue jusqu'ici...

Voilà comment je suis arrivé, le corps couvert de plaies et la mémoire anéantie. Je ne me souviens de rien, pas même de mon nom réel. Les mages les plus puissants chez les troll... ne purent voir plus loin dans mon passé que le jour où je suis apparu.

Dans un monde de guerre et de cruauté, dans un monde où vivre devient une lutte sans lendemain. Un talent caché en moi vient au jour, un talent qui ne me plait guère mais arrange les miens...

Celui de blesser et disparaître, celui de saigner à blanc sans tuer et de partir dans la brume me cacher...

Personne ne sait qui je suis, d'ou je viens, mais je sais une chose, c'est là où je vais vous envoyer......

D.E.M. le Destin Entre mes Mains !

Lunatic est une undeade adulte

Lunatic, folle depuis le départ de son amant...

Depuis, elle offre des petits cadeaux à tout le monde... Pensant que tous ces destinaires sont en réalité le même homme : son ancien chéri !

Ahhh.. Ca arrive qu'elle confond entre masculin-féminin... Myope ? Nooooooon.

Debilo est une undeade adulte

Je sais... Je suis pas aidée...

De toute façon, je vais vous le dire franchement, être née vampire me rend un peu chienne... heuuu canine, je veux dire...

Je viens donc du désert de Mongolie, d'une très ancienne race dégènérée...

Mes gènes sont sans aucun plaisir.

Mes surnoms, vous le savez déjà, sont : Miss Boulette, La Cata, J'veuxpat'voir et Cassetoid'là...

Bref, la compagne idéale...

Je suis sure que nous allons être de très bons amis.

tigresse est une jeune elfe adulte

Dans la fraîcheur de la nuit une silhouette avançait d’une démarche féline, le regard fixe. Du haut de la colline, dans l’obscurité qu’elle aimait tant, Tigresse admirait la vallée, qui autrefois était son repère…

Elle s’assit dans l’herbe légèrement humide, en attendant que le jour daigne pointer le bout de son nez. Enfin, il arriva, dévoilant la couleur rouge flamboyante de l’herbe de la vallée. Les corps des combattants étaient étendus, le visage pâle, avec parfois, une lueur de vie dans le regard, qui disparaissait aussi vite qu’elle était apparue, comme une ombre filant dans le ciel. Tigresse reconnaissait parfois, parmi tous ces morts, un ancien compagnon, mais elle tournait le regard si vite que déjà son esprit prenait cette vision pour une illusion. Puis elle tourna le dos et s’en alla, ne pouvant s’empêcher de jeter un dernier regard sur ce qu’elle venait de laisser, sur ce qui était dorénavant son passé…

Mana est une undeade adulte

Née suite à une malédiction de l’union interdite de la vie éternelle et de la mort, je suis maintenant maudite pour l’éternité... Morte et immortelle je recherche maintenant la paix par mes actions.

Devenir soigneuse est mon objectif.



Au crépuscule de mon âme, l’ombre et la lumière, la vie et la mort se sont penchées sur mon lit de mort… Un Phœnix d’Alexandrie et un Corbeau d’Hadès étaient venus me rejoindre pour mes derniers instants.

La destinée de mon âme n’avait pas été tracée, aucun chemin… Le Phœnix et le Corbeau avaient dès lors des avis très différents pour mon devenir… Malheureusement pendant le terrible affrontement qui avait suivie leur rencontre je rendais mon dernier souffle…

Alors, au dessus de nous, une lueur magique apparut et finis par nous inonder de lumière. Une terrible malédiction était sur le point de frapper ! Grossissant, la lueur absorba le Phœnix et le Corbeau pour créer une nouvelle créature innommable…

Mais la proximité de mon âme avec cette union entre la vie et la mort ne m’épargna pas non plus, je suis maintenant une morte vivante, maudite pour l’éternité me relavant toujours, immortelle et morte, la malédiction m’avait aussi frappée… Les grandes lignes de ma destiné étaient tracées à moi d’écrire la suite…

Je ne revis jamais cette créature, mais qui sait si je la retrouvais un jour… Je pourrais peut être enfin me reposer, pour l’éternité…

Shadowfax est un tauren adolescent

De jour comme de nuit, la haute silhouette du tauren arpente les terres du Lorndor.
Sa démarche souple et assurée est quelques fois troublée par un pas hasardeux, conséquence du déséquilibre causé par l'énorme poutre métallique qu'il porte sur l'épaule droite.

Il avance la tête découverte et porte une cotte de maille négligemment enroulée autour de son torse.
Autour de son cou pend un collier de corde grossière, auquel sont fixés plusieurs os blanchâtres : de petits cranes d'apparence robuste et de très fins fémurs percés en plusieurs endroits.
Ils prennent toutes les nuances du blanc brillant au gris usé. Cependant tous sont finement gravés selon des arabesques complexes.

Lorsque le soleil est haut dans le ciel, le tauren fouille le sol des yeux et semble chercher quelque chose... Il s'arrête de temps en temps près d'un rocher ou d'un arbre, l'air absent, ou alors contemple longuement une fleur.
Si par hasard un animal croise sa route, il peut l'observer quelques instants et le regarder s'éloigner ou bien abréger son existence d'un coup de poutrelle bien senti.

Sous la légère brise du soir, il relève les yeux et fixe l'horizon. Certaines nuits, le vent fait jouer les fémurs percés et les cranes de son collier : l'entrechoc des os et les sifflements produisent une étrange musique éthérée...

Agonie est une jeune trolle adulte

C’était au petit jour. Whydalaz, le vieil alchimiste troll, marchait placidement dans les prairies à la recherche de quelques plantes. C’était une journée comme une autre et de ce fait, notre vieil ami était d’humeur joyeuse.
Poum, poum poum… Rhooo, mais c’est une Pyros lava ! Je vais m’installer la pour la faire sécher. Par tout les dieux, merci pour ce Soleil !
AAAAARRRRRRAAAAAHHHHAAARRRAA !!!!
Ce cri de terreur fit sursauter le troll. Il empoigna son bâton de marche et s’avança de son pas saccade vers le foyer du bruit. Il découvrit un petit être recroqueville a même le sol qui, malgré sa petite taille, braillait comme mille diables.
Tiens ? Mais un dirait… Oui, oui, un petit monstre en terre, c’est bien une mandragore, que voici !
Il s’en approcha avec précaution et l’attrapa pour l’examiner de plus près. Il essuya le sang qui recouvrais le visage du petit être.
Tiens ! C’est bizarre, ça… Ca ne sent pas la terre, ce sang. S’est plus sucre, plus chaud. Et il n’y a pas de pendu aux alentours. Ca m’a plus tôt l’aire d’un bébé d’homme.
Le nouveau ne cessa de pleure, et peu a peu finit par attendrir le vieux troll. Il finit par renoncer aux envies culinaires qui lui serpentaient dans la tête et soigna sa trouvaille à l’aide de plantes.

20 ans plus tard

Mandragore ! Reviens ici !
Mais ses paroles n’ures pas plus d’effet que s’il les avaient tus. La jeune apprentie se ruait déjà sur l’araignée géante l’épée levée. L’araignée était beaucoup trop grosse pour la guerrière. Whydalaz parvint a faire fuir l’araignée avant qu’elle n’eu raison de sa protégée.
Mandragore, vraiment tu n’es pas sage. Je t’avais dit d’attendre mon ordre pour attaquer. Celle-ci ne t’aurais laisse aucune chance.
Tu parles ! J’ais réussi a lui couper deux pattes des ma première charge.

Mon histoire débute dans un petit village de fermiers. Ils semblaient vivre dans un cauchemar permanant. Ils n’étaient pas pauvre mais la joie semblaient avoir déserté le village. Leur désolation et leur misère trouvait leur origine dans une sombre mésaventure qui semblait avoir jeté une malédiction sur le village. Cette histoire était connue sous le nom de « La malédiction d’Egonie ». Elle était contée aux voyageurs de passage pour les inciter à ne pas s’attarder dans ce lieu qu’on disait maudit.

Pour comprendre mon histoire, il vous faut connaître cette tragédie.

Citation :

Voici l’histoire d’un être mi femme mi dragon. Son influence maléfique la suivait comme une ombre. Depuis son enfance, la follie atteignait les membres de son entourage. Pourtant, elle paraissait seine et innocente aux yeux de tous. Certaines jeunes filles réagissaient cependant de manière démesurée à sa présence. Elles se mettaient à pleurer à son arrivée en quelque lieu que ce soit, et n’osaient l’approcher.
« Ses dents sont grandes comme des couteaux, ses mains ressemblent aux griffe d’une gargouille, elle a une crinière de feu dans le dos, et ses yeux lancent de la malveillance partout où elle regarde. »
Sanglotaient-elles cloîtrées dans leur demeure.

Mais la folie ne s’arrêta pas sur ses êtres fragiles et gagna rapidement les autres villageois. La première atteinte fut la mère d’Agonie elle-même, car telle était le nom de cette enfant maudite. Cette fois-ci, le mal ne se contenta pas de détruire l’esprit. Il faisait souffrir les êtres au plus profond de leurs entrailles. La seule guérison qu’ils pouvaient alors espéré était la mort.

Lorsque le père d’Egonie succomba à cette terrible folie, plus personne ne la défendit. Sans être mis à mort, elle fut chassée du village, car devant l’ampleur du désastre dont on l’accusait, personne n’osa porter la main sur elle.

La tragédie que venait de vivre le village annonçait une longue décennie de misère. Durant tout ce temps, on se méfia de chaque fille qui naissait.
C’est à l’approche d’un hiver, alors que tout le monde craignait les femmes encore plus que les brigands, que trois cavalières en armure arrivèrent au village. Elles trouvèrent un village mort. Toutes les portes étaient fermées et personne ne leur répondit. Narec finit par se montrer, armé d’une simple fourche. Ils les menaça et les somma de partir. Tout les villageois étaient immobiles dans leurs maisons, à l’affût du moindre bruit. Leur peur redoubla lorsqu’ils entendirent l’une d’elles mettre pied à terre.

« Est-ce dans ce village qu’une jeune fille hantée par un dragon est née ? demanda-t-elle.
- Cela ne te regarde pas ! répondit Narec. C’était il y a plus de dix ans, et personne n’y est pour rien, ici. Partez, maintenant !
- Rassure-toi. Je ne suis pas venu rendre justice. Cette fille est morte, et nous venons rendre son corps à qui de droit. Ses parents sont-ils toujours ici ?
- Ils sont morts. Je suis son plus proche parent. Sa mère était ma sœur. »

Les deux autres cavalières mirent pied à terre et s’approchèrent avec le corps d’Egonie. Elle avait l’age d’une jeune femme et ses yeux semblaient encore pleurer le malheur qu’elle avait vécu. Elle aurait suscité tristesse et amoure à tout homme, mais une fois de plus, elle ne suscita que notre peur.

« Ne vous approchez pas ! hurla Narec en menaçant les cavalières de sa fourche.
- Ne vous inquiétez pas. Le dragon a quitté son corps lors de sa mort.
- Arrière ! insista-t-il. »

Les femmes déposèrent le corps sans insister d’avantage. Celle qui avait pris parole s’avança vers Narec, qui avait finit par baisser sa garde. Elle lui tendi une bource et lui dit que ce qu’elle contennait devait servire à reconstruire ce qu’Egonie avait, malgré elle, annénti. Narec s’empressa de l’ouvrire , et laissa échapper un cris d’étonnement devent la taille et la beauté des pierres précieuses qu’il y trouva.

Les funerailles eurent lieu le soire-même. Les villageois construisirent un bûchet qu’ils laissèrent dériver dans la rivière avoisinante. Un dernier frisson de peur parcouru l’assemblée devent le spectacle du corps d’Egonie au milieu des flames.

Et depuis cette sombre histoire, ils ont peur...

C’est dans cette période sombre que je suis venue au monde. Et ce même jour, le village se faisait attaqué par un groupe de pillards. L’un d’eux m’a défiguré de quelques coups de couteau et a tué ma mère avent de mettre le feu à la maison. Mon père parvint à me sauver des flammes. J’étais en vie mais mon visage ressemblait plus à celuis d’un monstre qu’à celuis d’un nourrisson humain. Les survivants du pillage ont tout naturellement rejeté la faute sur moi, qui avais alors l’aspect d’un démon, et m’accusèrent d’avoir attiré le mauvais œil sur le village comme l’avait fait Egonie autrefois. Agonie fut désormais mon nom.
Mon père mourut pendant ma quatrième année, et comme Egonie, je fus laissée à l’abandon loin du village.

Voilà comment commança l’histoire d’une trolle dans l’âme.

Zyrn est un undead adulte

Je n'ai pas eu le temps de profiter de ma première vie. J'étais un jeune elfe insouciant et bienveillant. Mes souvenirs de cette période s'éloignent et s'effacent peu à peu. Mais s'il y a une chose que je n'oublierais jamais, ce sont les dernières secondes de cette existence.

Tant de haine ! Tant de morts ! Et pourquoi ? Cela n'avait servit à rien. J'étais mort en vain. Je n'aurais jamais dû être en ces lieux de désolation. J'ai tout tenté pour survivre. Tout tenté pour résister. Je suis allé jusqu'à implorer la mort de me laisser. J'ai lutté contre mon anéantissement avec toute la volonté de ce monde.

Aujourd'hui encore, j'ignore encore comment ma demande a été exaucée. Je suis revenu d'entre les morts.

Conscient de la chance qui m'a été offerte, j'ai décidé de lutter sans faillir contre l'autodestruction du Lorndor. Contre tous ces fous qui détruisent sans se soucier de l'avenir. Contre les fausses divinités au nom desquelles on tue par millions. Contre ces fausses croyances qui assurent qu'il existe des races inférieures. Contre tous ces chefs et leaders qui envoient leurs troupes à la mort.

C'est seulement mort que l'on s'aperçoit au combien tout ceci est futil et ridicule. Tout est clair pour moi maintenant. Si je n'ai pas eu le temps de jouir plus d'une vingtaine d'années de ma existence en tant qu'elfe, cela fait maintenant mille ans que j'arpente ce monde comme un revenant. Mes connaissances se sont accrues, mon savoir s'est vu augmenté d'années en années, et mes compétences n'ont cessées de s'améliorer.

Maintenant je comprends. Je vois en quoi il est dangereux de suivre les foules, de se rallier derrière des dictateurs ou des leaders d'opinion, ou pire : de croire aveuglément en une religion.

Ni Dieu ni maître, voilà quel est mon mot d'ordre aujourd'hui. Le chaos est la seule voie possible. Que chacun créé son propre chemin. Que chacun juge par lui-même.

Je réduirais personnellement à néant tout ce qui s'opposera à cet idéal. Pour cela nul besoin d'user de violence, de menaces ou de machinations. Je crois à la puissance de la conviction. J'irais ouvrir les yeux de chacun, les détourner de leur addiction, les détacher de leurs brides, dussé-je pour cela y passer des millions d'années. Désormais en dehors des filets de la mort, j'ai tout mon temps.

slainoc est un undead adulte

Slainoc. Ce nom résonnait autrefois dans les couloirs d'un petit château, dans une campagne tranquille du bord de mer. Slainoc. Le fils du duc, le fils illégitime du duc pour mieux dire. Un de ces gamins que leur père accueille dans leur château, mais qui sont miséreux, seuls et traités comme les chiens.

Slainoc à qui personne ne faisait attention connaissait le château mieux que n'importe qui. Et notamment, derrière un trou sous un escalier, il y avait une petite porte,pas plus haute qu'un mètre, sculptée et ornée de courbures, mais fermée par une lourde serrure en argent.

La clé correspondant ne pouvait qu'être la grosse clé de cérémonie que portait le duc autour du cou...